ALLIANCE INTERNATIONALE DES RÉCUPÉRATEURS

L'Alliance Internationale des Récupérateurs est une union de organisations de récupérateurs représentant plus de 460 000 travailleurs dans 34 pays.
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Amérique latine



Conférence internationale du Travail : point de mire de l’atelier des récupérateurs d’Amérique latine

Réunis pour l’atelier des organisations de récupérateurs d’Amérique latine, tenu au siège national de la Confederación de Trabajadores de la Economía Popular (CTEP) à Buenos Aires, les participants ont lancé une déclaration dont les revendications seront présentées prochainement à la 103e Conférence internationale du Travail (CIT).

Équateur : le réseau national des récupérateurs signe un accord avec le gouvernement

Les récupérateurs et récupératrices organisés en Colombie sont objet d’un accord entre le ministère de l’Inclusion économique et sociale, le ministère de l’Environnement, l’Institut de l’économie populaire et le Réseau national des récupérateurs de l’Équateur (Renarec), avec le soutien de la Fondation Avina.


Déchets et genre : Repenser les relations hommes-femmes vers l’autonomie

Il existe peu de recherche sur les relations entre les sexes et les divisions parmi les récupérateurs de matériaux. Un projet de collaboration impliquant les récupérateurs en Amérique latine veut éclairer les multiples paliers de discrimination que connaissent les femmes et qui touchent aussi leurs besoins en tant que récupératrices.


Mônica da Silva, récupératrice, éco-activiste, est lauréate du Prix du Patrimoine

Women’s International Center honorera la récupératrice Maria Monica da Silva en lui remettant à São Paulo, le 22 février, le Prix du Patrimoine vital pour son travail de promotion de la justice environnementale et du recyclage inclusif, un pour lequel elle a été nominée par Global Alliance for Incinerator Alternatives (GAIA) et Other Worlds Are Possible.

Le déchétarisme de la démocratie à Bogotá : la vraie question derrière la crise à la mairie

Gustavo Petro a été élu maire de Bogota en octobre 2011. Mais le 9 décembre 2013, Alejandro Ordóñez, l’Inspecteur général de la Colombie, a ordonné que le nouveau maire soit demi de ses fonctions et banni de la politique pour quinze ans. Des dizaines de milliers de citoyens ont manifesté dans les rues.


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