février 20, 2019
Chers récupérateurs et alliés,
Nous sommes heureux de vous présenter la 21e édition de Pas de frontières pour ceux qui luttent !
En solidarité,
Equipe de soutien de communication de GlobalRec
Sommaire
Global
Asie
Amérique Latine
Afrique
Europe
Amérique du Nord
Global
Échange global de récupérateurs « Le recyclage entre nos mains » à Buenos Aires (Argentine) (02/08/2019)
Du 17 au 22 octobre 2018, l’échange global des organisations de récupérateurs et récupératrices « Le recyclage entre nos mains » a eu lieu dans la Confédération des Travailleurs de l’Économie Populaire (CTEP) à Buenos Aires, Argentine. Les récupérateurs de différentes villes côtières appartenant à dix pays comme le Sénégal, l’Afrique du Sud, le Ghana, l’Inde, les États-Unis, la France, l’Italie, l’Équateur, la Colombie, le Brésil, le Canada et des délégués et déléguées de différentes villes d’Argentine y ont participé. Au cours de cette rencontre, on a discuté et échangé à propos des problèmes et défis que subit le secteur recycleur (dénommé « cartonero » en Argentine) dans un contexte économique qui exclut les travailleurs pauvres, sans aucun type de droit ni de reconnaissance. De plus, en tenant compte des modèles d’organisation qui ont déjà avancé en matière de conquêtes de salaires, les récupérateurs ont défini des stratégies pour continuer à lutter pour le droit au travail et pour les droits des travailleurs. L’agenda de cet échange a comporté plusieurs visites aux différentes expériences dans les dépotoirs, dans les centres urbains et périphériques, dans les centres de traitement de matériaux recyclables et aux expériences innovantes telles quelles la promotion environnementale effectuée par les femmes récupératrices. En outre, les délégations ont assisté à diverses discussions et débats qui ont eu pour conclusion ce document final (télécharger PDF). Le document final est disponible dans les langues suivantes: Español, English et Português. Vous pouvez voir plus d’informations et des vidéos de l’échange.
Asie
Pune : les récupérateurs indiens perdent leur habitation dans un incendie massif (Inde) par SWaCH (11/28/2018)
De nombreux membres de l’une des principales organisations de récupérateurs de matériaux au monde ont perdu leur habitation à la suite d’un incendie massif dans le bidonville dense de Patil Estate situé sur les rives du fleuve Mula à Shivajinagar Pune, en Inde. Les incendies, tant sur leurs sites de travail que dans les implantations sauvages, où ils vivent, représentent une grande menace pour les récupérateurs de matériaux du monde entier. SWaCH demande aux habitants de Shivajinagar, Aundh, Pashan, khadki et d’autres localités de la région à faire preuve de compassion en ce moment. Veuillez ne pas vous plaindre si vos déchets ne sont pas enlevés au cours des deux ou trois prochains jours. Soyez indulgents avec les récupérateurs de déchets et aidez-les à reprendre leur vie en main. Kagad Kach Patra Kashtakari Panchayat (KKPKP) accepte avec gratitude tout don en espèces ou en nature. Si vous souhaitez faire un don, veuillez appeler ou envoyer un SMS ou un Whatsapp Maitreyi au +91 97 65 999496. Informations sur le compte bancaire : Nom du compte : KASHTAKARI PANCHAYAT Numéro de compte : 00000032036166729 Description du compte : FCRA – COMPTE D’ÉPARGNE EN BANQUE INR Succursale : ERANDWANE, PUNE Code IFS : SBIN0004618: CODE SWIFT : SBININBB218. Une fois avoir fait un don, veuillez acheminer le code de transaction à l’adresse kashtakaripanchayat@gmail.com. Publié sur SWaCH Facebook. 28 novembre 2018.
Gestion des déchets dans le canton industriel de Bengaluru (Inde) par Kabir Arora (10/11/2018)
L’Autorité du canton industriel de la Cité électronique (ELCITA) à Bengaluru a fait appel à Hasiru Dala Innovations (HDI) pour fournir des services de gestion des déchets aux zones industrielles de la Cité électronique. HDI collecte auprès de 90 entreprises de la région les déchets triés à la source, ce qui garantit que les déchets en partance, arrivent à la destination voulue. C’est-à -dire que les déchets alimentaires vont à la biométhanisation, les déchets de jardin sont donnés à un agriculteur et les déchets secs sont acheminés à une installation de gestion des déchets où ils sont triés avant d’être vendus aux entreprises de recyclage. Les services de gestion des déchets offrent des emplois aux anciens récupérateurs de matériaux qui bénéficient d’un salaire minimum de 12 000 roupies indiennes (INR) et d’autres avantages accordés aux travailleurs du secteur formel.
Indore, la ville la plus propre de l’Inde, expulse les récupérateurs du lieu du travail (Inde) par The Alliance of Indian Waste-pickers members (12/09/2018)
L’Alliance des récupérateurs indiens condamne l’exclusion des récupérateurs de matériaux à Indore. En prévision de l’enquête Swachh Bharat Survey 2019 (Enquête pour une Inde propre, 2019), la Corporation municipale d’Indore est en train « d’attraper, d’expulser, de pénaliser et d’agresser les récupérateurs de matériaux qui font leur travail ». Ceci est une violation flagrante du « droit au travail » fondamental, tel qu’il est consacré dans la Constitution de l’Inde et des Règles de 2016 sur la gestion des déchets solides ainsi que des lignes directrices de Swachh Bharat Abhiyaan (Mission Inde propre). L’Alliance des récupérateurs indiens a écrit à divers ministères au niveau national, notamment à la Commission nationale des droits de la personne, une lettre très ferme ainsi qu’une lettre provinciale. Une copie de cette lettre a été envoyée aux autorités municipales d’Indore. Les membres de l’Alliance ont réitéré leur demande d’inclusion conne le stipulent les Règles de 2016 sur la gestion des déchets solides, à savoir le droit d’accès aux déchets, le droit à une carte d’identité professionnelle, le droit de participer à la collecte des déchets et au à l’exploitation des installations de gestion des déchets. Les autorités devraient prendre des mesures énergiques à l’encontre de ceux qui violent les normes et repoussent les récupérateurs de matériaux à la marginalisation.
Bhopal : statut des récupérateurs de matériaux dans la deuxième ville la plus propre de l’Inde (Inde) par Kabir Arora (07/25/2018)
Les récupérateurs de matériaux sont l’épine dorsale de Swachh Bharat Abhiyaan (Mission Inde propre). Leur rôle est reconnu dans les Règles de gestion des déchets solides 2016, notifiées par le gouvernement indien. Pourtant, leur situation, dans la 2e ville la plus propre de l’Inde, est tout à fait déplorable. Leur logement est temporaire et n’est qu’un simple abri en tôle, la qualité de l’eau fournie est douteuse, les toilettes construites pour eux ne sont pas en bon état. Les récupérateurs de Bhopal viennent de localités différentes; beaucoup d’entre eux appartiennent à des communautés indigènes comme Gonds & ; Bhils, les plus anciens habitants du sous-continent indien. Ils ont quitté leur lieu d’origine en raison du manque de travail et, en ville, ils se retrouvent dans la collecte de matériaux car c’était la seule possibilité qui leur était offerte. Certains récupérateurs de matériaux ont été expulsés, d’autres pourraient l’être tôt ou tard, en raison de l’absence de politique concernant leur logement.
Indore : le modèle de gestion des déchets est incomplet sans la participation des récupérateurs de matériaux (Inde) par Alliance of Indian Wastepickers (08/03/2018)
Les membres de l’Alliance des récupérateurs indiens se sont réunis à Indore dans le cadre de l’atelier intitulé « Comprendre la protection sociale des récupérateurs de matériaux ». S’estimant lésés par le fait que la ville la plus propre de l’Inde, Indore, a exclu les récupérateurs de son modèle de gestion des déchets, un modèle tant vanté, ils ont écrit une lettre aux autorités municipales d’Indore, aux gouvernements provincial et national pour s’assurer que les récupérateurs de matériaux sont incorporés dans la gestion des déchets de la ville d’Indore.
Karnataka : les récupérateurs exigent d’être pris en compte dans le règlement relatif à la gestion des déchets (Inde) par Kabir Arora (08/08/2018)
Les récupérateurs de matériaux et les ramasseurs informels de déchets sont profondément contrariés par l’omission de toute mention de leur inclusion dans le projet de règlement sur la gestion des déchets solides, qui doit être notifié par le gouvernement de l’État du Karnataka. L’Alliance des récupérateurs indiens et Hasiru Dala ont appelé à une consultation ont appelé à une consultation au niveau de l’État, à laquelle participeront les récupérateurs de matériaux des six villes du Karnataka. Ils exigent que la notification finale des règlements fasse mention de leur inclusion, conformément au mandat du ministère de l’Environnement, des Forêts et du Changement climatique de l’Union. À cet égard, ils ont écrit une lettre au gouvernement de l’État.
Amérique Latine
Visionnez le long métrage « Catadores de História » (Histoires de récupération de matériaux) (Brésil) par Setor de Comunicação MNCR (12/17/2018)
Le long métrage « Histoires de récupération de matériaux » (Catadores de História), réalisé par la cinéaste Tania Quaresma, est sorti sur des plateformes en ligne,le 13 décembre 2018, a reçu trois prix à la 49e édition du Festival du cinéma brésilien tenue à Brasilia. « Ce que nous avons le plus entendu tout au long du tournage, c’est l’importance que revêt pour les récupérateurs de matériaux, hommes et femmes, le fait d’être vus et reconnus », a déclaré Tânia Quaresma. Le film dépeint la vie des récupérateurs de matériaux originaires de plusieurs régions du Brésil. C’est une expérience émouvante grâce à la richesse des témoignages et aux dialogues intenses avec les récupérateurs qui ont participé au processus de production, dans son ensemble, y compris lors des projections publiques de parties du film et en commentant les résultats. De plus, les récupérateurs Ronei Alves, de Brasilia, et Alex Cardoso, de Porto Alegre, faisaient partie de l’équipe de production comme assistants réalisateurs. Le film est déjà disponible sur YouTube.
RENAREC fête son 10e anniversaire comme organisation de recycleurs de base (Equateur) par RENAREC (01/28/2019)
Avec une séance solennelle, un forum, une exposition et des événements culturels sur le Recyclage Inclusif, le RENAREC a fêté son 10e anniversaire comme organisation de recycleurs de base. On a présenté un aperçu des réussites atteintes pendant cette décennie et des défis auxquels l’organisation doit faire face dorénavant pour obtenir la reconnaissance et la mise en valeur du service prêté par les recycleurs de base. Lors du forum, on a discuté de la situation des gestionnaires environnementaux en Équateur, qui se trouvent sur la voie d’être reconnus formellement en tant que prestataires du service public du recyclage. RENAREC regroupe environ 50 associations de recycleurs organisés à l’échelle nationale, composées par plus de 1 500 recycleurs d’Équateur et leurs familles.
La FACCyR met en place un système de recyclage avec inclusion à Zarate (Argentine) par FACCyR (12/13/2018)
Après plusieurs mois de discussion entre les coopératives de recycleurs de Zarate, Argentine, organisées dans la FACCyR – CTEP, on a réussi à faire approuver par le Conseil consultatif de la ville un projet de loi qui met en place un système de gestion social du recyclage. D’après ce nouveau règlement, les politiques publiques doivent nécessairement prendre en compte les exigences des recycleurs et l’importance des systèmes de collecte différenciée.
La FACCyR promeut un nouveau programme pour prendre soin des plages avec inclusion sociale (Argentine) par FACCyR (01/24/2019)
Dans les villes côtières de l’Argentine, les Promotrices environnementales récupératrices et les recycleurs travailleront dans la récupération des déchets recyclables des plages. Cet été, on a commencé avec la création d’un programme qui s’appelle « Plages Propres », promu par la Fédération des récupérateurs, charretiers et recycleurs de l’Argentine et la municipalité d’Ensenada (province de Buenos Aires). Le programme a deux axes fondamentaux. D’une part, il reconnaît le travail de collecte des matériaux recyclables des recycleurs faisant partie de la FACCyR. D’autre part, il encourage la promotion de l’environnement chez les touristes qui visitent et profitent des plages de la ville. De plus, le programme prévoit que les matériaux récupérés soient traités par les récupérateurs, ce qui évite l’enterrement de tonnes de déchets ménagers. Avec ce système de travail, les recycleurs argentins contribuent à prendre soin de la côte de l’Atlantique tout en créant des postes de travail et d’inclusion sociale.
Les recycleurs de FACCyR Ã Escobar ont conquis leur lieu de travail (Argentine) par FACCyR (10/21/2018)
Plus de 300 travailleurs recycleurs d’Escobar, province de Buenos Aires, Argentine, ont conquis un entrepôt cédé par la municipalité ; ils pourront y recueillir et trier les matériaux des villes avoisinantes. Cette victoire est un grand pas en avant dans le chemin vers la construction de nouvelles et meilleures politiques publiques de recyclage ayant pour pilier fondamental l’inclusion sociale.
Inauguration de l’usine de bois-plastique de l’Association de Récupérateurs de Bogota (Colombie) par Federico Parra (01/15/2019)
Le vendredi 14 décembre 2018, à Bogota, il a eu lieu l’inauguration de l’usine d’élaboration de bois-plastique de l’Association de Récupérateurs de Bogota. Il s’agit d’un événement d’une grande importance pour les récupérateurs de toute la Colombie, car d’une part, cela a été possible grâce à la rémunération provenant de la reconnaissance des récupérateurs et leurs organisations en tant que fournisseurs du service public de valorisation de résidus en Colombie et d’autre part, cela rend concret le droit de croître dans la chaîne de valeur du recyclage, droit qui est protégé par la Cour Constitutionnelle de Colombie. Grâce à cette usine, de différents types d’emballage en plastique post-consommation qui n’ont aucun marché en Colombie seront traités. Avec ceux-ci, on élaborera des solutions de construction favorisant d’abord les récupérateurs et visant ensuite un large éventail de créneaux d’opportunités. Ce processus a reçu aussi l’assistance technique de la Fondation « Llena una botella de amor » (en français, « Remplis une bouteille d’amour ») qui développe dans cette initiative de production à la ville de Rionegro (département d’Antioquia) depuis quelques années et qui a actuellement élargi son travail d’élaboration de solutions aux problèmes de logement à tout le pays et à d’autres pays latino-américains.
Afrique
Les recycleurs de décharge et les recycleurs ambulants, pour la première fois, se sont réunis et organisés (Afrique du Sud) par African Reclaimers Organisation (09/04/2018)
Le 2 septembre 2018, l’Organisation des récupérateurs africains (ARO) s’est présentée à Johannesburg, en Afrique du Sud, comme la première organisation qui rassemble les recycleurs travaillant dans les décharges et la rue. Les récupérateurs de matériaux ont décidé de la qualifier d’africaine parce qu’elle regroupe tous ceux qui sont engagés dans le commerce du recyclage, quelle que soit leur nationalité. L’Afrique du Sud se classe troisième derrière des pays comme la Suède pour ses taux de recyclage. Ces taux impressionnants tiennent presque entièrement au travail des recycleurs informels qui constituent le fondement de l’économie du recyclage, mais qui sont souvent ignorés par les décideurs et l’industrie. L’ARO veut changer inverser la vapeur. L’Afrique du Sud doit augmenter ses taux de recyclage et les recycleurs doivent être rémunérés pour le travail en étant fournisseur de services environnementaux vitaux. Lire l’article au complet en anglais.
Accra : petits pas, grand horizon pour l’organisation des travailleurs sur la décharge de Kpone (Ghana) par Johnson Doe (01/25/2019)
Accra : petits pas, grand horizon pour l’organisation des travailleurs sur la décharge de Kpone Inspirée par la CTEP, la confédération argentine des travailleurs de l’économie populaire, en particulier par les réalisations des récupérateurs de matériaux à Buenos Aires organisés au sein de la FACCyR, l’organisation des récupérateurs à la décharge de Kpone va maintenant de l’avant en réalisant des choses, plus précisément « rattrapant le retard », comme le dit Johnson Doe, délégué d’Accra au Global Exchange tenu à Buenos Aires en octobre dernier. Ils cherchent à faire progresser la reconnaissance de leur travail, la lutte contre la discrimination et les droits des travailleurs. À cette heure-ci, ils s’efforcent de développer suffisamment le sentiment de solidarité entre les travailleurs. Dans l’intervalle, ils ont fait inscrire l’organisation, ont maintenant reçu leur certificat légal et disposent d’un compte bancaire pour renforcer la commercialisation des produits recyclables.
Europe
Première réunion informelle européenne des récupérateurs de matériaux et des marchands de biens d’occasion (Italie) par Rete ONU and Amelior (02/10/2019)
La première réunion européenne informelle des récupérateurs de matériaux et des marchands de biens d’occasion, réunion devant déboucher sur un réseau européen, s’est tenue à Turin, le 21 novembre à Eco dalle Città à Turin, en Italie. La réunion, convoquée par Amelior, Rete ONU et ViviBalon, est censée lancer un processus de construction d’un réseau européen, centré sur les récupérateurs, qui pourrait devenir un pôle de référence pour le secteur de l’occasion au niveau européen. En fait, ce secteur ne dispose pas aujourd’hui d’une représentation large et importante, capable de dialoguer avec les institutions communautaires et de représenter les besoins des opérateurs. Par secteur de l’occasion ou de seconde main, nous entendons les travailleurs qui fouillent dans les « déchets ou ordures » d’autrui et y récupèrent des objets ou articles réutilisables. Les participants ont échangé des informations sur leurs activités et mis en commun les bonnes pratiques qui pourraient servir d’ancrage à des comparaisons et échanges. Tous les participants ont souligné la nécessité d’avoir un point de référence en plus des points nationaux à renforcer :
- Le profil et l’identité des récupérateurs de matériaux en Europe
- Les caractéristiques communes à ceux qui travaillent dans le secteur de l’occasion
- La nécessité d’une représentation politique parmi les acteurs institutionnels, à commencer par l’UE
- La possibilité de réaliser des projets transnationaux communs
- L’importance de renforcer l’impact social et environnemental des opérateurs et plus généralement du secteur du réemploi
- La possibilité pour les récupérateurs de matériaux de devenir le moteur du secteur du réemploi
Rete ONU, ViviBalon et Amelior ont fait part de leur volonté de travailler dans les mois à venir pour trouver d’autres contacts dans d’autres pays européens de même que des ressources pour organiser une réunion élargie du secteur. Si vous souhaitez recevoir les mises à jour sur ce processus ou commenter ce message, veuillez indiquer votre adresse électronique dans le formulaire suivant. Vous ne pourrez recevoir les mises à jour si vous ne fournissez pas votre e-mail.
Amérique du Nord
Sure We Can : défis et espoirs fin 2018 et début 2019 (États-Unis d’Amérique) par Ana MartÃnez de Luco (02/09/2019)
Nous avons retrouvé élan, force et dynamise suite au rassemblement de recycleurs auquel nous avons participé en octobre 2018, à Buenos Aires. De retour chez nous, à New York, nous sommes confrontés à des défis d’ordre locatif, à savoir l’espace que nous utilisons pour nos opérations. Le bail se termine fin janvier 2019, et le propriétaire veut le vendre. Sure We Can a « l’option d’achat » (la priorité à l’achat), mais le prix (3 millions $) le met complètement hors de notre portée. Nous sommes en train de frapper à toutes les portes possibles. Devant ce défi, nous avons communiqué avec des groupes comme le Projet de la nouvelle économie (New Economy Project), des groupes qui pourraient être de bons partenaires dans bien d’autres domaines et champs d’action au cours de l’année à venir. Lire l’article au complet en anglais ou en espagnol.
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